Pour pouvoir vous inscrire à l’examen du permis de conduire, vous devez 

  • Avoir au moins 17 ans (ou 15 ans si vous préparez le permis dans le cadre de l’apprentissage anticipé de la conduite),
  • Et, si c’est la 1re catégorie de permis que vous passez et que vous êtes né depuis 1988, être titulaire de l’ASSR 2 ou de l’ASR,
  • Et, dans le cas de certains handicaps, avoir passé le contrôle médical préalable auprès d’un médecin de ville agréé par le préfet du département de votre lieu de résidence.

Liste des documents à fournir :

Votre auto-école se charge à votre demande de votre inscription à l’examen du permis.

Si vous êtes mineur, la demande doit être formulée par une personne ayant l’autorité parentale.

Cette inscription permet d’obtenir un numéro d’enregistrement préfectoral harmonisé (NEPH).

L’auto-école vous demandera les documents suivants :

  • Un justificatif d’identité du candidat et celui du détenteur de l’autorité parentale si le candidat est un mineur,
  • Un justificatif de domicile,
  • photos d’identité (ou une photo numérique d’identité si l’auto-école effectue l’inscription en ligne),
  • Si vous êtes français et âgé de plus de 17 ans et de moins de 25 ans, la copie du certificat individuel de participation à la journée défense et citoyenneté (JDC) ou de l’attestation provisoire en instance de convocation à la JDC ou de l’attestation individuelle d’exemption,
  • Si vous êtes étranger, un justificatif de régularité du séjour ou si vous êtes dispensé de détenir un titre de séjour, une preuve de votre présence en France depuis au moins 6 mois (feuille de paie, quittance de loyer…)
  • Si nécessaire, le formulaire Cerfa n°14880*02 (avis médical)

La formation théorique du permis B

 

Inscription

L’auto-école vous inscrit au code.

Vous pouvez, si vous le souhaitez, vous inscrire vous-même pour passer l’épreuve du code dans un centre agréé par l’État. Vous devez régler une somme de 30 € pour passer l’examen du code. Vos coordonnées bancaires vous seront demandées à la fin de la procédure d’inscription.

Formation

Il est possible de se préparer à l’examen du code en suivant les cours d’une école de conduite ou en se formant seul.

Examen

Le jour de l’épreuve, il faut se munir d’une pièce d’identité valide ou périmée depuis moins de 5 ans.

Vous recevez les résultats par courrier postal ou électronique le jour même.

Après obtention du code, vous devez, dans un délai maximum de 5 ans à partir de la date d’obtention du code, passer l’examen pratique de conduite.

Durant ces 5 ans, vous avez droit à 5 présentations maximum pour réussir l’épreuve pratique.

Si vous avez déjà un autre permis de conduire, comprenant code et conduite, depuis moins de 5 ans, vous ne passez que l’épreuve de conduite.

Le bénéfice du code reste acquis en cas de changement, soit de filière de formation, soit de catégorie du permis de conduire.

À savoir :

Il n’existe pas de système d’équivalence en France d’une épreuve théorique réussie dans un autre pays.

Des séances spécifiques peuvent être organisées pour les candidats qui présentent un handicap physique ou qui maîtrisent mal la langue française.

Pour connaître les dates de ces sessions, il convient de se rapprocher de la préfecture.

Seuls les candidats ayant déclaré leur handicap ou leur défaut de maîtrise du français dans leur dossier d’inscription peuvent participer à ces séances spécifiques.

 LE PROGRAMME DE FORMATION DE L’EPREUVE THEORIQUE

Lors de la formation théorique communément appelée formation au « code de la route », l’élève suivra des cours portant sur la connaissance des règlements concernant la circulation et la conduite d’un véhicule ainsi que sur celle des bons comportements du conducteur.

Ces questions se basent sur le REMC (Référentiel pour l’Éducation à une Mobilité Citoyenne), c’est à dire sur le document de référence de tout programme d’éducation et de formation en matière de sécurité routière (le remplaçant du PNF). C’est ainsi qu’il est souhaité une pédagogie basée sur l’acquisition de compétences sans exclure la pédagogie par objectifs. De ce fait, le nouvel examen du code de la route aborde de nouveaux thèmes comme les gestes de premiers secours ou encore les nouvelles technologies telles que l’e-call (appel d’urgence) ou les aides au freinage. Le fonctionnement d’une boîte automatique est également abordé, par exemple.

 Chaque série comporte toujours 40 questions et il faut réaliser un score de 35 bonnes réponses (soit 5 fautes au maximum) pour obtenir son examen du code de la route. 4 questions en vidéo seront diffusées dans chaque série. Une question porte sur le comportement en présence d’un accident et / ou d’une victime d’accident et une autre question porte sur les remontées de files des motards mentionnant les départements tests.

9 nouveaux thèmes organisés en 9 familles

  • LA CIRCULATION ROUTIERE
  • LE CONDUCTEUR
  • LE ROUTE
  • LES AUTRES USAGERS
  • PRENDRE ET QUITTER SON VEHICULE
  • LA SECURITE DU PASSAGER
  • LES NOTIONS DIVERSES 
  • L’ENVIRONEMENT
  • LES PREMIERS SECOURS

 Modalité de validation Epreuve Théorique Générale (E.T.G.) :

C’est l’examen du code qui évalue les connaissances portant sur la réglementation du code de la route (signalisation, priorités, règles de circulation…). Pour sa validation, il vous faudra obtenir un score inférieur ou égal à 5 fautes sur 40.

Epreuve pratique du permis B

Formation

Il est possible de se préparer à l’examen du permis en suivant les cours d’une école de conduite ou en se formant avec un proche (en candidat libre).

Selon son âge, il est possible de suivre un apprentissage :

Examen

L’épreuve pratique permet d’évaluer les points suivants :

  • Respect des dispositions du code de la route,
  • Connaissance du véhicule et capacité à déceler les défauts techniques les plus importants,
  • Maîtrise des commandes et de la manipulation du véhicule,
  • Capacité à assurer votre propre sécurité et celles des autres usagers sur tout type de route, à percevoir et anticiper les dangers,
  • Connaissance des notions élémentaires de premiers secours,
  • Degré d’autonomie dans la réalisation d’un trajet,
  • Capacité à conduire en respectant l’environnement et en adoptant un comportement courtois et prévenant envers les autres usagers.

Elle dure 32 minutes. Vos documents d’examen sont vérifiés.

Si vous avez suivi une formation selon la formule de l’apprentissage anticipé de la conduite, votre attestation de fin de formation initiale est vérifiée pour s’assurer que vous avez respecté la durée minimale d’un an de conduite accompagnée.

Un test de vue est réalisé. Vous en êtes dispensé si vous avez passé une visite médicale préalable. En cas de test non concluant, l’examinateur signale le résultat de ce test au préfet pour que vous soyez convoqué pour un contrôle médical.

Le test de conduite, d’une durée minimale de 25 minutes, comporte notamment :

  • La vérification d’un élément technique en relation avec la sécurité routière, à l’intérieur et à l’extérieur du véhicule,
  • La réalisation de deux manœuvres différentes : un freinage pour s’arrêter avec précision et une manœuvre en marche arrière (marche arrière en ligne droite, rangement en créneau ou en épi, demi-tour…).

Pour être reçu, vous devez obtenir au moins 20 points et ne pas commettre d’erreur éliminatoire (exemples : franchissement d’une ligne continue, circulation à gauche, non-respect d’un signal prescrivant l’arrêt…).

Résultat de l’épreuve pratique

À l’issue de l’épreuve pratique, l’inspecteur ne vous communique pas oralement le résultat.

Vous pouvez connaître le résultat de votre épreuve pratique 48 heures après l’avoir passée en utilisant le téléservice mis en place sur le site de la sécurité routière :

 Le programme de l’épreuve pratique se caractérise en 4 parties :

L’USAGER

Assumer personnellement ses responsabilités citoyennes, juridiques et sociales.

LE DEPLACEMENT

Utiliser un véhicule à moteur de façon autonome, rationnellement et en sécurité.

DEVENIR UN CONDUCTEUR COMPETENT

Prendre en compte les facteurs entraînant une dégradation du système homme-véhicule- environnement, prendre les décisions qui permettent d’y faire face, mettre en œuvre les mesures préventives.

LA GESTION DE L’ENVIRONNEMENT

Préparer ses trajets et conduire le véhicule de façon autonome dans les situations de circulation simples ou complexes.

PROGRAMME DE FORMATION DE L’EPREUVE PRATIQUE

– DEFINI PAR QUATRE COMPETENCES REMC

COMPETENCE N° 1

– MAITRISER le maniement du véhicule dans un trafic faible ou nul.

– Connaître les principaux organes et commandes du véhicule, effectuer des vérifications intérieures et extérieures.

– Entrer, s’installer au poste de conduite et en sortir.

– Tenir, tourner le volant et maintenir la trajectoire.

– Démarrer et s’arrêter.

– Doser l’accélération e le freinage à diverses allures.

– Utiliser la boîte de vitesses.

– Diriger la voiture en avant en ligne droite et en courbe en adoptant allure et trajectoire.

– Regarder autour de soi et avertir.

– Effectuer une marche arrière et un demi-tour en sécurité.

COMPETENCE N° 2

– APPREHENDER la route et circuler dans des conditions normales.

– Rechercher la signalisation, les indices utiles et en tenir compte.

– Positionner le véhicule sur la chaussée et choisir la voie de circulation.

– Adapter l’allure aux situations.

– Détecter, identifier et franchir les intersections suivant le régime de priorité.

– Tourner à droite et à gauche en agglomération.

– Franchir les ronds-points et les carrefours à sens giratoire.

– S’arrêter et stationner en épi, en bataille et en créneau.

COMPETENCE N° 3

– CIRCULER dans des conditions difficiles et partager la route avec les usagers.

– Evaluer et maintenir les distances de sécurité.

– Croiser, dépasser, être dépassé.

– Passer des virages et conduire en déclivité.

– Connaître les caractéristiques des autres usagers et savoir se comporter à leur égard avec respect et courtoisie.

– S’insérer, circuler et sortir d’une voie rapide.

– Conduire dans une file de véhicules et dans une circulation dense.

– Conduire quand l’adhérence et la visibilité sont réduites.

   COMPETENCE N° 4

– PRATIQUER une conduite autonome, sûre et économique.

– Suivre un itinéraire de manière autonome.

– Préparer et effectuer un voyage longue distance en autonomie.

– Connaître les principaux facteurs de risque au volant et les recommandations à appliquer.

– Connaître les comportements à adapter en cas d’accident : protéger, alerter, secourir.

– Faire l’expérience des aides à la conduite du véhicule (régulateur, limiteur de vitesse, ABS, aides à la navigation…).

– Avoir des notions sur l’entretien, le dépannage et les situations d’urgence.

– Pratiquer l’écoconduite.

Chaque   compétence sera évaluée par l’enseignant de la conduite mais une auto-évaluation de l’élève est également importante afin de lui faire prendre conscience des choses à améliorer et ainsi qu’il est du recul sur sa conduite.

Modalité de validation Epreuve Pratique de Conduite (35 mn)

C’est une évaluation de compétences où l’inspecteur note l’élève sur des items définis. Elle se décompose ainsi. Conduite effective (durée environ 25 mn) : Sur un itinéraire varié (agglomération, hors agglomération et autoroute), cette épreuve permet de vérifier que vous avez acquis

GRILLE  D’EVALUATION  POUR VALIDATION  DU PERMIS DE CONDUIRE

La grille d’évaluation du permis de conduire permet à l’inspecteur de valider jusqu’à 31 points d’évaluation. Pour décrocher son permis de conduire, un candidat doit obtenir un minimum de 20 points, tout en évitant de faire une ou plusieurs fautes éliminatoires.

Les compétences évaluées dans la grille d’évaluation du permis

Plusieurs compétences sont évaluées par l’examinateur lors de l’examen du permis de conduire grâce à la grille d’évaluation.

L’INSTALLATION AU POSTE DE CONDUITE (2 POINTS)

Lors de l’installation au poste de conduite en début d’épreuve, le candidat doit veiller à régler certains éléments du poste de conduite afin d’avoir une position de conduite optimale :

  • la distance entre le siège et les pédales(jambe gauche légèrement fléchie lorsque la pédale d’embrayage est enfoncée)
  • la hauteur et l’inclinaison du siègeet des appuie-tête afin d’avoir une bonne vision de son environnement
  • la position du volant(lorsque le candidat est bien installé au fond de son siège, il doit pouvoir le tourner sans avoir les bras tendus)

LES VÉRIFICATIONS INTÉRIEURES ET EXTÉRIEURES (3 POINTS)

Il y a en tout 100 groupes de 3 questions portant sur les vérifications intérieures et extérieures. Le jour du permis, l’inspecteur doit poser au candidat trois questions : l’une portant sur une vérification intérieure ou une vérification extérieure, une question de sécurité routière et une question liée aux premiers secours.

Ces questions sont classées de 00 à 100. Au cours de l’épreuve, l’inspecteur demande généralement à l’apprenti conducteur de marquer un arrêt et de lui donner les deux derniers numéros du compteur kilométrique, il s’agit du numéro de la question.

L’unique solution pour obtenir ces 3 points le jour de l’examen est de connaître les réponses par cœur.

LA MANIPULATION DES COMMANDES ET LE FONCTIONNEMENT DU VÉHICULE (3 POINTS)

Le candidat au permis de conduire doit être capable de maîtriser son véhicule en toute situation. Pour cela, il doit tout savoir sur le fonctionnement et la mécanique de son véhicule. Il doit, par exemple, connaître tous les témoins d’alerte du tableau de bord, savoir utiliser correctement ses feux et essuie-glace, etc… Lorsqu’il interroge le candidat, l’inspecteur ne lui demande pas simplement de lui montrer l’élément, mais aussi de le faire fonctionner.

Ce ne sont pas moins de 6 critères, évalués de façon transversale et notés sur 3 points, qui sont alors évalués pour s’assurer de la bonne connaissance des commandes.

LA PRISE D’INFORMATIONS (3 POINTS)

Le candidat doit être capable d’observer et d’analyser son environnement afin d’évoluer en toute sécurité pour lui-même et les autres usagers de la route. De nombreux éléments extérieurs doivent donc être pris en compte, comme la signalisation, les conditions météorologiques ou encore la présence d’autres usagers.

Le candidat doit prendre l’information :

  • Vers l’avant et latéralement, en prenant en compte tous les éléments constituant son environnement (mobiles, fixes ou aléatoires) qui se trouvent dans son sens de circulation
  • Vers l’arrièreà l’aide des rétroviseurs, en vérifiant systématiquement derrière lui s’il ne gêne aucun usager avant de réaliser une manœuvre
  • En vision directe, en complétant sa prise d’information en contrôlant la configuration de l’environnement ou la nature de l’action

LA MAÎTRISE DE L’ALLURE (3 POINTS)

Le candidat au permis de conduire doit connaître les limitations de vitesse du code de la route, et être capable d’adapter son allure en toute circonstance. Qu’il s’agisse de diminuer, de maintenir ou d’augmenter son allure, il doit savoir réagir afin de ne jamais être une source de danger pour lui-même ou pour les autres usagers de la route.

LE RESPECT DE LA RÉGLEMENTATION EN VIGUEUR (3 POINTS)

Le candidat doit respecter toutes les règles relatives au code de la route, et notamment les règles relatives à la vitesse, qui ne sont pas les mêmes pour les conducteurs en cours d’apprentissage que pour les usagers n’étant plus soumis au permis probatoire.

BIEN COMMUNIQUER AVEC LES AUTRES USAGERS (3 POINTS)

Le candidat doit signifier toutes ses intentions aux autres usagers de la route afin de ne créer aucun accident ou trouble de la circulation. Il devra donc veiller à :

  • Utiliser les clignotantsdès que cela est nécessaire
  • Utiliser les feux stopou de détresse en cas de fort ralentissement afin de prévenir les usagers se trouvant derrière
  • Utiliser l’avertisseur sonore(seulement si la situation l’exige)

SE POSITIONNER SUR LA CHAUSSÉE (3 POINTS)

Le candidat doit toujours se positionner correctement et partager la chaussée avec les autres usagers. Il doit donc veiller à bien garder son cap afin de ne pas se déporter, et éventuellement gêner un autre automobiliste.

RESPECTER LES ESPACES DE SÉCURITÉ (3 POINTS)

Le candidat au permis de conduire doit être constamment vigilant aux intervalles de sécurité autour de son véhicule. Il doit en avoir une totale maîtrise afin d’adapter son allure et de ne jamais entrer en contact avec un autre usager ou un objet fixe.

 

AUTONOMIE ET CONSCIENCE DU RISQUE (3 POINTS)

Cette compétence générale est évaluée à partir de 3 “sous-compétences” notées chacune sur 1 point. Le candidat peut donc obtenir 0,5 ou 1 point pour chacune de ces compétences :

  • L’analyse de la situation: le candidat doit être capable de faire un diagnostic de la situation afin d’adapter son comportement routier. Il pourra même être interrogé par l’inspecteur sur la perception qu’il a d’une situation donnée
  • S’adapter à la situation: en fonction du diagnostic établi, le candidat doit être capable d’adapter sa conduite
  • Conduire de manière autonome: le candidat au permis de conduire doit être capable de suivre un itinéraire seul et sans difficultés afin de pouvoir rejoindre un point de rendez-vous. Son comportement routier doit rester exemplaire même s’il n’est pas guidé.

LES POINTS BONUS (2 POINTS)

Il existe deux points bonus :

  • Pour courtoisie au volant: le candidat doit faire preuve d’anticipation et de bienveillance envers les autres usagers avec qui il partage la route. Il doit particulièrement veiller à bien se comporter avec les cyclistes, piétons et tous les usagers considérés comme vulnérables
  • Pour conduite économique: pour obtenir ce point bonus, le candidat doit passer rapidement vers les rapports supérieurs, maintenir une allure constante et doit adopter la conduite la plus fluide et la plus souple possible

 

Les deux manœuvres obligatoires

La première manœuvre est imposée par l’inspecteur, qui laissera ensuite au candidat le choix pour la seconde. Celui-ci doit faire un choix intelligent et viser plutôt une manœuvre facile (marche arrière en ligne droite par exemple). Les manœuvres du permis de conduire sont les suivantes :

  • Marche arrière en ligne droite
  • Marche arrière en courbe
  • Rangement en créneau
  • Rangement en épi
  • Rangement en bataille
  • Demi-tour
  • Arrêt de précision

Ces manœuvres en elles-mêmes ne donnent pas lieu à une note mais peuvent être à l’origine d’une faute éliminatoire.

Barème du permis de conduire et résultat

Chaque compétence est évaluée selon le barème suivant :

  • E : Indique que le candidat a commis une faute éliminatoire. L’examen du permis est obligatoirement raté
  • 0 : Le candidat n’a aucun point pour cette compétence mais n’a pas fait d’erreur éliminatoire = Mauvais ou mal acquis
  • 1 : Le candidat obtient 1 point = Moyen
  • 2 : Le candidat obtient 2 points = Bien
  • 3 : Le candidat obtient 3 points = Très bien

Enfin, le futur conducteur ne doit pas oublier de consulter son résultat à l’examen du permis de conduire en ligne 48 heures après l’épreuve